Article
Le ministère public valaisan fait le sale boulot des islamistes
Le ministère public valaisan nous l’a appris aujourd’hui, il entend porter l’accusation contre le conseiller national Jean-Luc Addor concernant son tweet ironique « on en redemande » qui avait fait la une des médias en 2014.
Notre justice semble considérer qu’en politique, ou lorsqu’on commente simplement l’actualité, il ne faut laisser aucune place à l’ironie et veut accuser Jean-Luc Addor de la pire des intentions.
Pourtant, en se basant sur la discussion dans les minutes qui ont suivi, et sur le témoignage de l’auteur de ces lignes, la justice sait elle-même que ces accusations sont sans fondements.
Attaqué par le CCIS de Nicolas Blancho, qui, lui, n’hésite pas à user de sa liberté d’expression pour promouvoir une attitude contraire aux valeurs suisses et pour inviter des prédicateurs extrémistes en Suisse, notre justice se fait la complice d’une stratégie désormais connue à l’étranger et en Suisse : faire taire, par tous les moyens, les critiques de l’islam.
Cette fronde des tenants d'un islam rigoriste s’inscrit dans le contexte où une plainte avait été aussi déposée contre ceux qui ont osé critiquer l’ouverture d’une mosquée à Martigny sans autorisation.
Cette stratégie d'intimidation judiciaire s'est visiblement mise en place afin de museler quiconque use de sa liberté de parole pour critiquer l'islam radical et tester la résistance des "cibles" et des institutions. En France, le procès des caricatures de Charlie Hebdo en a préfiguré le terrifiant engrenage.
La liberté d’expression, et donc, celle de critiquer, sont sérieusement remises en cause au nom d’une fausse vision de la lutte contre le racisme en la qualifiant « d’islamophobie ». Cette posture idéologique, qui est en fait une escroquerie sémantique, veut subordonner la liberté d’expression au diktat des religions en général… mais, évidemment, surtout à l’islam.
L’UDCVR soutient Jean-Luc Addor dans son combat face aux intégristes islamiques et à la justice du Système, pour le coup très zélée, beaucoup plus que quand il s’agissait, par exemple, de chercher le véritable coupable dans l’affaire du petit « Luca ». L'UDCVR saura, le moment venu, manifester concrètement son soutien par sa présence.
En attendant, les citoyens valaisans apprécieront la fixation des priorités opérée par nos autorités, particulièrement en ce jour de deuil face à une nouvelle attaque de l'islam radical.
Pour l'UDCVR,
Jérôme Desmeules
(co-) Président