Mosquée de Martigny : la muselière et la Justice pour qui ose poser des questions !
On apprend par la presse que les responsables de la mosquée de Martigny entendent déposer des plaintes pénales, notamment, contre le (co-) Président de l’UDCVR et candidat au Conseil national, Jérôme Desmeules, pour des propos tenus sur Facebook par des tierces personnes. Cette plainte fait suite à la découverte par l’UDC de l’implantation sans mise à l’enquête publique ni autorisation d’une mosquée en plein centre de Martigny. Jérôme Desmeules et l’UDC Martigny s’étaient simplement demandés si ce changement d’affectation avait fait l’objet d’une demande d’autorisation et réclamaient la fermeture de ce qui semble constituer une mosquée avant que les exigences légales aient été respectées.
Cette publication a généré un débat nourri et légitime sur cette extension de la présence de l’islam en terre valaisanne avec plus de 360 commentaires, sans compter les partages par d’autres personnes.
Les faits ont révélé que les interrogations de l’UDC étaient légitimes puisque, dans la soirée, le parti a appris par la bouche du Président de la Ville, M. Marc-Henri Favre, que ce dernier n’était pas au courant de l’ouverture de ce nouveau lieu de culte islamique.
Dans la foulée, l’UDC Martigny a interpellé le Conseil communal pour faire respecter les procédures et la loi en donnant ainsi la possibilité aux citoyens de s’opposer à cette nouvelle avancée de l’islam.
Ainsi, en déposant une plainte, on comprend les véritables intentions des responsables de cette mosquée : faire progresser l’islam en Valais et museler toutes critiques ou interrogations.
Pourtant, il est légitime de se demander si, par exemple, les prêches qui sont données dans cette mosquée enseignent un respect de la primauté du droit suisse sur la charia. Que faut-il penser à ce sujet puisque ni la liberté d’expression ni celle d’avoir un regard critique ou encore moins le droit de s’opposer à cette implantation ne semblent être tolérées par cette mosquée et son imam.
L’UDC attend désormais la détermination des autorités de la Ville et poursuivra ses démarches pour que les citoyens puissent faire entendre leur voix.