Progression historique de l’UDC qui devient incontestablement le 2ème parti du canton
L’UDC du Valais romand célèbre aujourd’hui une progression phénoménale et historique en atteignant son score le plus élevé depuis la création du parti en 1999. Cette progression est bien supérieure aux estimations des sondages et à nos propres estimations, qui propulsent incontestablement notre parti au rang de 2ème parti cantonal, ce qui est la reconnaissance du travail accompli ces 4 dernières années, de la clarté et de la constance dans la défense de nos idées.
Immigration, asile, errements dans la politique énergétique, pouvoir d’achat, progression constante des expériences et théories woke ne sont que quelques exemples des raisons qui auront poussé une large part des valaisannes et valaisans à vouloir reprendre le contrôle sur un monde politique qui part à la dérive, qui a perdu ses valeurs, qui met en avant des intérêts particuliers au lieu de privilégier l’intérêt général.
Le message du peuple aux élus de tous partis est clair : la récréation est terminée, il faut maintenant s’atteler à résoudre les problèmes qui touchent vraiment les gens, s’occuper de la fin du mois avant de fantasmer sur la fin du monde, retrouver le chemin de la hausse du pouvoir d’achat, une souveraineté énergétique et oser affirmer les valeurs qui ont fait notre société occidentale.
Cette victoire offre aussi d’excellentes perspectives pour les élections communales de 2024 où l’UDC assumera son rôle et ses responsabilités.
Concernant le Conseil des États, l’UDC est largement satisfaite du résultat de Jean-Luc Addor, qui a réussi à rallier à sa candidature bien au-delà de la base électorale de l’UDC. Comme déjà annoncé, Jean-Luc Addor ne sera pas candidat au 2ème tour. L’UDCVR ne présentera pas d’autre candidature et laisse à ses membres la liberté de leur choix en gardant à l’esprit les enjeux qui se présentent pour notre canton pour les 4 prochaines années :
- pas de soumission ou d’adhésion cachée à l’Union européenne
- fin d’une immigration sans limite et du chaos de l’asile
- retrouver une autonomie et une souveraineté énergétique
- mettre fin à l’érosion du pouvoir d’achat et mettre en avant les intérêts de la population
- défendre avec force la liberté individuelle et les valeurs qui ont fait le fondement de notre société.
Pour l’UDCVR,
Donald Moos, président
Jérôme Desmeules, secrétaire général