STOP SwissCovid : signez le référendum, MAINTENANT !
Les membres et sympathisants de l’UDC du Valais romand ont reçu aujourd’hui ou vont recevoir ces jours-ci un courrier qui contient un formulaire de signature du référendum contre l’application de traquage SwissCovid, document que vous pouvez aussi télécharger https://drive.google.com/drive/folders/1wp4oy4S0AtpNmpuqOnE66RtYsEF_0fKe.
Si vous ne l’avez pas encore fait, je vous encourage, à réception de ce courrier, à signer ce formulaire, à le faire signer par les membres de votre famille ou par vos voisins et à le retourner de suite au comité référendaire, sans faire valider les signatures par la Commune.
Le temps presse, en effet : le délai de remise à la Chancellerie fédérale, c’est jeudi prochain 8 octobre. Il nous reste donc peu de temps, mais assez, toutefois, pour garantir le succès.
Je compte sur vous, MAINTENANT !
Jean-Luc Addor
Conseiller national
Vice-président de l’UDC du Valais romand
A toutes fins utiles, je reproduis ci-après le texte par lequel j’avais présenté les enjeux de ce référendum :
NON à la surveillance électronique de masse !
Les mesures prises pour combattre le virus chinois ont en commun un élément essentiel : la peur qu’on a répandu dans la population. Cette population (nous, donc) à qui on a fait peur, on l’a confinée. Quand on a peur, on est plus malléable, plus encore quand on est isolé. Intervient alors le troisième ingrédient, l’estocade en quelque sorte : sous couvert de lutte contre un virus, la surveillance électronique de masse, une forme de contrôle étatique que jamais, nous n’accepterions si l’on n’essayait pas de nous convaincre que c’est le prix à payer pour laisser le Pays, ses habitants et son économie vivre à nouveau après une paralysie sans précédent.
Revenons un peu en arrière. Au début était l’obligation imposée à Swisscom de fournir nos données de localisation. Ce fut la première étape, déjà discutable sous l’angle de la protection des données. Sans qu’on n’en publie le moindre bilan, on est directement passé à la deuxième étape : une application non pas de traquage, mais de… traçage. D’aucuns l’ont baptisée GestapoApp ; elle s’appelle finalement SwissCovid. Elle a l’air sympa : la technique, c’est sympa ; et puis, elle est facultative et les données ne sont pas centralisées. Il n’empêche : on veut nous tracer ; on veut relier ce système avec des systèmes étrangers correspondants ; et cette application étatique semble techniquement dépendante de Google et d’Apple. Rien de bien rassurant !
On est encore moins rassuré après avoir subi la campagne de propagande d’Etat catastrophique menée par l’Office fédéral de la santé publique à coup de SMS de masse ou de concours visant à nous aguicher astucieusement, campagne qui a dû être stoppée pour des raisons… de protection des données. Protection des données et de la sphère privée. Nous y voilà. Car c’est bien cela, le cœur du problème.
Pour couronner le tout, voici que même du point de vue technique, cette application développée hâtivement et sans aucun appel d’offres semble présenter des lacunes significatives. Et si elle n’était même pas efficace ?
Les Suisses ne s’y sont pas trompés : après un départ en fanfare, les téléchargements ont régressé, sans parler de l’utilisation effective du dispositif. Malgré une intense propagande d’Etat à connotation sanitaire, les Suisses n’auraient-ils pas confiance ?
Et si, comme on peut le prévoir, SwissCovid s’avère inefficace, quelle sera la prochaine étape ? Avant de songer à la rendre obligatoire, essaiera-t-on de sanctionner ceux qui ne l’utiliseront pas en leur interdisant l’accès à certains lieux ou services publics ? Sous couvert de lutte contre un virus chinois, allons-nous glisser vers une société à la chinoise, vers une société dans laquelle, discrètement, de manière indolore, l’Etat (Big Brother) prendra sur nous un contrôle de plus en plus total ?
Si vous non plus, de ce monde-là, vous n’en voulez pas, alors signez et faites signer le référendum STOP SwissCovid https://drive.google.com/drive/folders/1wp4oy4S0AtpNmpuqOnE66RtYsEF_0fKe !