Votations fédérales du 9 juin 2024 – les réactions de l’UDCVR
Initiatives sur la santé : une vision partagée par l’électorat valaisan
L’UDCVR salue le fait que les deux initiatives en matière de santé, “Maximum 10 % du revenu pour les primes d’assurance-maladie” et “Pour des primes plus basses. Frein aux coûts dans le système de santé”, aient été soutenues au niveau cantonal et encore plus largement au niveau du Valais romand. Cette adhésion démontre une prise de conscience collective de la nécessité de réformes profondes pour un système de santé plus accessible et financièrement supportable. Malheureusement, ces initiatives ont été refusées au niveau fédéral, ce qui constitue évidemment une déception. Ce résultat ne fait que renforcer notre détermination à continuer de nous battre pour des solutions équitables et durables face à la hausse des coûts de la santé, en espérant que le Parlement s’empoigne, cette fois-ci réellement, du problème de l’explosion continue des coûts et de l’absence de véritable concurrence ou d’alternative pour les assurés payeurs de primes.
Initiative “Pour la liberté et l’intégrité physique”
L’initiative populaire « Pour la liberté et l’intégrité physique » a été clairement rejetée. Le peuple suisse ne voit pas la nécessité de préciser l’article 10 de la Constitution fédérale pour empêcher une éventuelle obligation de vaccination, malgré le fait que notre gouvernement ait failli à sa mission de protection de la population durant la crise Covid : explosion des coûts de la santé, atteintes psychiques graves principalement chez les jeunes, surmortalité post-« vaccins », nombreux effets secondaires dramatiques qui pèseront à vie sur les victimes de cette expérience contraire au code de Nuremberg.
Il convient de noter que jusqu’à présent, il n’y a pas eu de véritable clarification de la politique Covid, avec ses atteintes parfois drastiques aux libertés et aux droits de la personne, ses couvre-feux, ses certificats, ses interdictions de visite et sa discrimination envers les personnes non vaccinées. Le coût financier de la politique Covid, environ 30 milliards de francs, plus l’endettement privé, continuera à peser longtemps sur la société.
Bien que notre recommandation en faveur de cette initiative n’ait pas été suivie, nous restons convaincus de l’importance de protéger les libertés individuelles et l’intégrité physique de chacun. L’UDC continuera à défendre ces principes fondamentaux et à promouvoir le respect de la sphère privée et du consentement éclairé pour éviter de revivre une chasse aux sorcières comme celle vécue durant la pandémie COVID.
Loi sur l’approvisionnement en électricité sûr reposant sur des énergies renouvelables